Figures emblématiques
- Portrait / Damien Milleville, ingénieur de cœur au chevet de la cathédrale Notre-Dame de Paris14 septembre 2019Ingénieur BTP spécialisé en monuments historiques et patrimoine bâti diplômé du Cnam Picardie, Damien Milleville a été appelé en renfort pendant une semaine sur le chantier de mise en sécurité architecturale de la cathédrale Notre-Dame de Paris suite à l’incendie du 15 avril dernier. A l’occasion des Journées européennes du patrimoine qui se déroulent jusqu’à Dimanche en métropole, cet ancien du Cnam nous offre une plongée au cœur des métiers d’art à travers le récit de sa vocation et de sa vision personnelle de l’expertise.| Culture | Métiers
- Louis Blériot Yvan Boude, rédacteur en chef du Cnam mag'
12 juillet 2019Ça aurait pu être l’une des questions du jeu des milles francs. « Lucette, de Bois-plage, vous demande qui fut l’homme de l’année 1909 : Eugène Schueller, créateur de la Société française de teintures inoffensives pour cheveux, devenue L'Oréal ; Robert Edwin Peary, premier homme à atteindre le pôle Nord ; ou Henri Poincaré, reçu à l’Académie française pour ses travaux scientifiques ? » Malgré l’aide appuyée du premier rang, les deux candidats, bercés par la mélodie du métallophone, seraient certainement restés cois. - 13 juin 1849 : les Montagnards investissent le Conservatoire Yvan Boude, rédacteur en chef du Cnam mag'
9 octobre 2018Cette journée prend pourtant ses racines loin de la rue Saint-Martin et du troisième arrondissement parisien.C’est en effet en Italie que se joue le premier acte qui conduira Alexandre Ledru-Rollin à publier, le 11 juin, unappel au peuple pour défendre la Constitution violée puis à constituer, deux jours plus tard, un Comité insurrectionnel au sein du Conservatoire des arts et métiers.| Culture - Le pendule d’Umberto Eco Yvan Boude, rédacteur en chef du Cnam mag'
26 septembre 2018« À la cinquantaine, normalement, on abandonne sa famille, on s’enfuit aux Caraïbes avec une danseuse. J’ai trouvé cette solution trop compliquée, et la danseuse coûtait trop cher. J’ai choisi la simplicité : j’ai écrit un roman », aimait raconter Umberto Eco pour expliquer son ineffable parcours qui le mena de l’étude de l’esthétique chez Thomas d’Aquin jusqu’au statut de « géant incontesté de la littérature mondiale ». Un statut qu’il acquiert dès son premier roman, Le Nom de la rose, récompensé par le Prix Médicis étranger en 1982, traduit dans vingt-six langues, vendu à plus de seize millions d’exemplaires et adapté au cinéma par Jean-Jacques Annaud !| Culture